C’est un débat passionnant pour les comptables.
Mark Carney, le favori présomptif Dans la race de leadership libéral, dit Un gouvernement dirigé par lui introduirait un nouveau « cadre » budgétaire qui « séparerait » les budgets opérationnels et capitaux du gouvernement fédéral – établissant une distinction entre les dépenses qui couvrent les dépenses en cours pour les programmes et les services et les dépenses qui vont à la construction et à l’achat de choses comme les infrastructures, le logement et les équipements militaires. Selon Carney, son gouvernement but Pour équilibrer le budget d’exploitation dans les trois ans, tout en gérant un « petit déficit » sur les dépenses en capital.
Carney a comparé cette approche de la façon dont les propriétaires paient leurs factures mensuelles tout en investissant pour améliorer la valeur de leur maison. Mais l’opinion des experts sur le cadre proposé de Carney est au moins quelque peu divisée – Kevin Page, l’ancien officier du budget parlementaire, dit Le globe et le courrier que cela pourrait permettre un examen plus facile des dépenses publiques, tandis que Trevor Tombe, économiste à l’Université de Calgary, est venu à la conclusion opposée.
Il n’est pas encore clair si les coupes proposées par le leader conservateur Pierre Poilievre seraient suffisantes pour équilibrer le budget. (Justin Tang / The Canadian Press)
Le chef conservateur Pierre Poilievre est décidément dans ce dernier camp. Il dit que Carney a l’intention de « cacher » un déficit et de « cuisiner les livres ».
La dernière rime de Poilievre est quelque peu sapée par l’assurance de Carney que son gouvernement « renforcera également la capacité et la fonction de surveillance de l’officier du budget parlementaire » à examiner ce nouveau traitement des dépenses en capital. Mais peu importe, les prochaines élections ne seront pas vraiment une lutte contre la comptabilité …