Coût de la vie4: 37 tappant sur le marché du travail caché
Lorsque Rose Asgharzadeh a déménagé à Calgary en 2023, elle n’était pas inquiet de trouver un emploi. Ses 14 années d’expérience dans l’enseignement des ressources humaines dans une université en Iran ont fait d’elle un expert littéral pour trouver un emploi.
Mais après 500 candidatures sur LinkedIn et en effet – principalement aux services RH d’entreprise – Asgharzadeh n’avait reçu pratiquement aucune réponse, à part un peu de rétroaction qui lui manquait une expérience professionnelle canadienne, ou avait été surqualifiée en raison de son doctorat.
« C’était très frustrant et très décevant », a déclaré Asgharzadeh à Cost of Living. « Alors que dois-je faire? Dois-je supprimer mon doctorat de mon CV? »
Asgharzadeh a suivi des cours et des ateliers pour stimuler sa connaissance du paysage des ressources humaines canadiennes. Elle passerait cinq ou six heures par jour à parcourir des postes d’emploi, adapter son curriculum vitae et postuler à environ 10 postes chaque jour.
Rose Asgharzadeh a eu du mal à obtenir un traction sur sa recherche d’emploi via des applications en ligne, jusqu’à ce qu’elle pivote en réseautage en personne, en organisant et en faisant 79 dates de café. (Soumis par Rose Asgharzadeh)
Mais ce n’est que lorsqu’elle a pivoté en réseautage en personne, en allant à 79 rencontres de café, qu’elle a décroché un emploi.
Asgharzadeh est tombé sur une vérité importante et quelque peu surprenante sur le marché du travail: même dans un monde où les candidatures en ligne semblent être la norme, il faut toujours un réseautage en personne pour révéler une partie importante des opportunités.
Bien qu’il n’y ait pas de données définitives sur le sujet, Certaines estimations Et les enquêtes ont suggéré que le marché du travail « caché » « pourrait représenter entre 50 et 70% de tous les postes.
Les employeurs essaient «beaucoup de méthodes différentes»
Brendon …