MONTRÉAL – Des manifestants accusant Amazon de l’union se sont réunis dans le centre-ville de Montréal aujourd’hui pour poursuivre leurs appels à un boycott de la société après avoir décidé de fermer ses entrepôts de Québec dans la province en janvier.
Félix Trudeau, président de l’Union pour The Laval, au Québec, Amazon Warehouse qui s’est syndiqué en mai dernier, était une environ 50 manifestants à la Square de Montréal à Phillips lorsqu’un journaliste de la presse canadienne a visité la scène, bien que des vidéos de la manifestation publiées sur les réseaux sociaux plus tard dans la journée montrent une foule de plus de 100 personnes.
Plus tôt cette semaine, il a partagé la scène avec le député du nouveau démocrate Charlie Angus à Ottawa, qui a fait écho aux appels à un boycott country et à des demandes d’employés pour une meilleure indemnité de départ.
Trudeau dit qu’il veut rappeler aux Canadiens que plusieurs milliers de travailleurs ont été licenciés pour ce qu’il dit être une «décision non décédé… pour écraser un mouvement des travailleurs démocrates». Il exhorte les différents niveaux de gouvernement à cesser d’utiliser les services Amazon.
Benoit Dumais, un ancien employé du Québec Amazon qui a déclaré qu’il a cessé de travailler dans l’entreprise en raison d’une blessure qu’il a subie au travail, souhaite que le ministre du Travail du Québec s’asseyent avec les travailleurs licenciés pour discuter de la façon dont ils peuvent poursuivre Amazon pour les indemnités et les services qui, selon Amazon, ont le devoir de fournir.
En février, un groupe de travail du Québec a déposé une plainte pour forcer le détaillant à reprendre ses opérations et à payer à chaque employé plus d’un an de salaire d’indemnisation
Amazon a rejeté les accusations de co-busting, affirmant que sa décision de fermer les entrepôts était basée sur la fourniture de services efficaces et rentables pour les clients.
Ce rapport du Canadien …